« Mon cauchemar retrouvé. » [PV]

En cette fin de journée Owen avait envie d'un peu de distraction. Il était plutôt de bonne humeur mais cela était toujours très relatif chez lui, content de lui mais toujours capable de se déchainer pour satisfaire ses pulsions les plus animales. Il avait fait son trou ici sur l'île. Les patrons étaient satisfaits de ses services. Les années sombres, quand il devait vivre presque dans la rue, sans domicile fixe, squattant ici ou là, des petits vols pour survivre, ne sachant jamais de quoi demain serait fait, tout cela était bel et bien oublié. Il avait pourvu le centre en chair fraiche et il pensa à Sherlyn, la jeune et jolie Mexicaine qu'il avait été cherché en Ecosse pour l'amener ici. Et les filles le redoutaient presque toutes tellement il était imprévisible mais surtout intraitable. Il ne se privait jamais de leur montrer qu'ici elles n'étaient rien et que lui pouvait tout exiger.

Il sourit en pensant à tout cela tandis qu'il marchait d'un bon pas, se dirigeant vers le centre de massages. Il trouverait bien là de quoi se détendre un peu. Au moment où il entrait Owen aperçut une silhouette qui se déplaçait le plus discrètement possible, rasant les murs. Il reconnut immédiatement Candice. Il la connaissait si bien cette petite et frêle "Purpose" et le sourire sur son visage s'aggrandit à cette vue. Cette fin d'après-midi ne pourrait être que très agréable en aussi bonne compagnie. C'était Rylee qui l'avait amenée ici mais il n'en avait bien entendu pas l'exclusivité. Et il n'en gardait à chaque fois que de bons souvenirs. Elle pouvait être parfois un peu récalcitrante mais il savait s'y prendre pour la mettre au pas...

Owen vit donc la jeune femme ouvrir une porte et se faufiler à l'intérieur d'une pièce. Elle devait avoir terminer son "service". C'est du moins ce qu'elle croyait, se dit-il amusé. Il accéléra le pas et se retrouva devant la porte marquée "privé". Rien n'était privé ici pour lui. Il ouvrit donc prestement la porte et vit Candice de dos, en sous-vêtements, une serviette à ses pieds.

"Bonjour Candice ! je vois que j'arrive au bon moment ... "

Il venait de refermer doucement la porte avant de s'adresser à elle, un grand sourire aux lèvres.

C'était toujours la même rengaine avec les filles, c'est du moins ce que se dit le jeune mac, nullement surpris de la réaction de la jeune femme

Citation :

Qu'est-ce que tu veux Owen ? Dégage!!!

ce n'était vraiment pas original mais cela ne l'impressionnait vraiment pas. Pour lui montrer à quel point il se moquait de son invective, Owen éclata de rire, un rire moqueur et d'une certaine façon lugubre. Et en plus elle avait attrapé la serviette qui trainait à ses pieds pour essayer de s'en couvrir le corps. Comme s'il ne connaissait pas chaque détail de ce joli corps. Cette fille était délicieuse et avec ce corps qu'on croirait à peine sorti de l'enfance et ce petit air mutin qui lui allait à ravir, elle faisait damner plus d'un homme... et on pouvait dire que c'était un bon plan au lit!

"Allons allons ... Candice ... qu'est-ce que c'est que cette réaction ... tu joues les vierges outragées ... mais tu oublies que tu n'es peut-être pas une oie toute blanche ... "

La pièce n'était pas très grande et Owen eut tôt fait de franchir l'espace qui le séparait de la jeune "Purpose". Il lui arracha la serviette qu'il jeta dans un coin de la pièce, hors de portée. Il la regarda longuement. Elle était vraiment ravissante dans ses sous-vêtements très sexy qui ne cachaient pas grand chose. Le voile léger de sa petite culotte laissait deviner par transparence le pubis recouvert d'une toison assez claire. Le soutien gorges largement échancré et lui aussi assez transparent dévoilait des seins petits, adaptés au reste de sa morphologie, mais fort bien proprotionnés et joliment dessinés.

"il ne faut pas être timide comme cela... c'est une de tes gros défauts ça ... la timidité . Pourtant quand tu es dans ... l'action ... tu es beaucoup moins timide. Les clients ne tarissent pas d'éloge sur toi... Si ... je t'assure."

Il s'amusait d'autant plus à lui dire qu'il savait que cela la mettrait encore plus mal à l'aise. Et ... plus elle serait mal à l'aise moins elle serait en mesure de se défendre, plus elle serait une proie facile pour le prédateur qu'il était. Le regard du jeune homme fixait la jeune femme, s'attardant longuement sur sa jolie poitrine avant de la regarder de nouveau droit dans les yeux. Il sourit encore une fois en la voyant perdre un peu plus de son peu d'assurance.

Le travail de sape avait commencé mais elle ne rendait pas encore les armes. Cela n'en serait que meilleur, il en était certain. Owen savait qu'il finirait par prendre le dessus et obtenir ce qu'il voulait. Ce n'était qu'une question de temps. Il savait aussi que, même si après elle en aurait honte et voudrait oublier, sur le moment elle aussi prendrait son pied. Car cette petite avait du tempérament et il ne racontait pas des blagues quand il disait que les clients ne tarissaient pas déloge ... au moins sur ce point il ne mentait pas contrairement à ce qu'elle venait de lui lancer à la figure ...

Citation :

Tu mens comme tu respires... Tu me dégoûtes !"

C'était sans doute qui se dégoutait. Elle aurait voulu oublier ces moments passés avec Owen ou avec d'autres hommes, des clients, des macs ... Quand elle devait se regarder dans le miroir cela lui faisait sans doute honte de se remémorer tout cela. Car elle aimait tellement se contempler. Elle se savait belle mais cette image qu'elle se renvoyait dans la glace devait être troublée par ce qu'elle vivait sur l'île. mais il ne fallait pas qu'elle croie que cela allait s'arrêter. Elle était là pour ça et seulement pour ça! L'ayant laissé jeter son venin le mac s'approcha de nouveau un peu plus d'elle et, sans crier gare, il passa sa main dans le dos de la jeune femme et dégraffa le soutien gorges qui tomba à terre. La jolie petite poitrine, soudain libérée, se dévoila complétement aux yeux d'Owen qui lui sourit. Regardant les petits seins fièrement dressés, il lui parla, une voix douce mais persuasive.

"tu es superbe comme ça Candice ... il ne faut pas avoir honte de ton corps et ... de ce que tu peux en faire. Et ... tu me traites de menteur mais ... tu as tort ... les clients me vantent toujours la manière dont tu leur fais passer de délicieux moments. Ca non plus il ne faut pas en avoir honte."

Il savait pertinemment que plus il le lui répéterait plus elle se ferait horreur et plus elle serait en position de faiblesse.

Owen s'amusait follement car il sentait bien que si la jeune femme jetait encore son venin c'était un combat désespéré. Tandis qu'il regardait le corps presque nu elle lui lançait à la figure les éternelles invectives dont il se moquait totalement. Au contraire même, pensa-t-il, elle s'épuise dans un combat complètement vain.

Citation :

Comment peux-tu parler de... ça, avec autant de désinvolture ?! C'est totalement répugnant et dégradant ! Mais à coup sûr, tout ce qui est sale tu plaît

C'était un peu le cri du désespoir pour elle. Mais elle ne tarderait pas à capituler et il lisait déjà dans ses yeux qu'elle connaissait l'issue du combat. Il se demanda à cet instant comment il allait achever la proie blessée. Il avait envie d'une victoire totale et cela passait par une soumission plus morale et psychologique que physique. Il la regarda avec un petit sourire puis posa doucement sa main sur la poitrine dénudée. Et sa main se mit à caresser lentement le sein droit, effleurant la peau douce. Il voulait la voir frémir sous ses caresses. Il voulait qu'elle accepte d'elle-même ce qu'il envisageait depuis le début. Même si elle le haïssait et il avait bien lu des éclairs de haine dans les yeux de Candice, elle n'allait pas tarder àrendre les armes et sa victoire serait totale. Les yeux du jeune homme ne quittaient pas ceux de la "Purpose". Ses caresses se firent encore plus sensuelles. Et tandis que d'une main il lui caressait la poitrine, de l'autre il faisait doucement glisser la culotte de la jeune anglaise qui restait comme figée sur place. Il lui murmura alors à l'oreille

"Souviens-toi comme tu aimes ça Candice ... à chaque fois tu jouis ... tu en redemandes chaque fois que je te prends ... et ce sera pareil cette fois-ci ... dis-moi que tu en as envie ... dis-le moi ..."

Et il le lui répétait tout en la caressant.

Il savait bien qu'elle était dégoutée de l'entendre dire ça, que tout ce qu'il lui laissait entrevoir, tout ce qu'elle avait vécu, notamment avec lui, lui faisait horreur. Mais c'était sa façon à lui de réduire à néant sa capacité de résister. Plus il enfoncerait le clou plus elle serait incapable de résister. Et puis Owen aimait à imaginer que la jeune femme appréciait ce qu'elle faisait ici. Il ne se trompait d'ailleurs pas en disant que les clients appréciaient les talents de Candice. C'était sans doute un paradoxe mais tout en ressentant l'horreur de ce qu'elle faisait sur l'île, elle pouvait se livrer sans retenue. Etait-ce par calcul? par plaisir? par une certaine forme de soumission? Peut-être un mélange de tout cela. Vu le caractère un peu narcissique de la jeune anglaise, qui n'avait pas échappé à Owen, il était vraisemblable que, à son corps défendant, elle trouvait une certaine forme de jouissance à être autant appréciée des hommes de l'île, macs ou clients. Il sourit en l'entendant nier ses capacités à la faire jouir.

Citation :

Tu es un si mauvais coup que jamais je ne pourrais jouir avec toi

D'abord il ne fallait pas inverser les rôles. C'était elle qui était à son service et pas l'inverse. Ensuite l'attaque un peu gratuite était un peu vaine et inutile. Encore une fois, il y voyait là le venin qu'elle cherchait à distiller pour ne pas céder à quelque chose qui lui faisait horreur mais dont elle ne savait pas comment ne pas y céder.

"Un peu court comme argument dis-moi! et tu n'as pas toujours dit ça. Veux-tu que je te rappelle comment tu étais et ce que tu disais quand nous avons fait l'amour la semaine dernière dans ta chambre ... ou encore tes cris ... de plaisir sur la plage deux semaines plus tôt... et la manière dont tes yeux brillent chaque fois qu'un homme te regarde?... alors arrête de rejeter la vérité ... tu aimes ça Candice! tu aimes être sur le devant de la scène ! et tu as tellement d'admirateurs ici!"

Il resta quelques instants silencieux, se contentant de la regarder puis reprit.

"alors dis-moi que tu en as envie ..."

Le jeu continuait mais ce n'était peut-être pas un jeu pour les deux protagonistes. Owen se délectait de ce qu'il faisait et disait à la belle tandis qu'elle cherchait à résister mais sombrait peu à peu dans la plus grande des détresses. Elle pouvait tout lui dire, tout essayer, rien ne le ferait reculer. Et c'était ce côté inexorable qui plaisait au mac. il s'amusait à la rabaisser toujours un peu plus pour mieux l'obliger à accepter l'innacceptable. Au bout ce serait le gouffre pour elle et une forme certaine de jouissance pour lui. Il pourrait alors en disposer à sa guise et il ne s'en priverait pas.

Il vit dans les yeux de Candice briller encore une lueur de dignité et un éclair de rage. Oui ,c'était bien cela ... il y avait de la rage dans son regard. Mais que pouvait-elle contre lui. Ce corps si frêle ne pesait pas bien lourd face à lui qui la dominait par la taille et par le poids. il pourrait presque la soulever d'un bras. Alors quand dans un accès de rage elle le traita d'ordure et se jeta sur lui poings en avant pour lui marteler la poitrine de coups qui n'auraient guère fait de mal à une mouche, il ne lui répondit même pas. Owen la laissa s'épuiser dans cette vaine réaction. Et cela ne dura pas longtemps. Quand les bras de Candice retombèrent le long de son corps, il la regarda, sanglottante et haletante. Puis, froidement il lui asséna une gifle monumentale du plat de la main, en veillant à ne pas la blesser, juste pour lui faire sentir la brulure et l'état d'impuissance dans lequel elle était.

Puis il posa la même main qui venait de la gilfler sur son entrejambe, lui faisant d'abord longuement sentir ce contact fort et dominateur. Alors que son autre main lui caressait le visage, Owen commença à lui caresser l'entrejambe, déplaçant lentement la main, faisant ensuite glisser son doigt qui effleurait la fente que plus rien ne cachait et ne protégeait de son emprise. Il lui murmura alors ...

"je ne veux que ton bien Candice ... dis-moi que tu aimes ça ...

Il pensait que la gifle ainsi que sa vaine tentative de lui marteler le coprs avec ses petits poings avaient eu raison de la résistance de la jeune Purpose. Il avait décelé chez elle comme une forme d'abattement, de résignation. Elle n'était pas loin d'accepter le sort qu'il lui réservait. Pourtant il y eut un sursaut chez Candice. Et elle le lui proclama avec un regain de vigueur

Citation :

"Mon bien ? Avec toi je ne pourrais jamais aimer... ça !"

il comprit que c'était pour elle comme le dernier sursaut d'orgueil, la dernère façon de ne pas accepter l'humiliation totale. Il aurait bien voulu qu'elle capitule complètement, sans condition et qu'elle lui dise ce qu'il lui avait demandé. Mais c'était courir le risque qu'elle puise dans cette ultime révolte la force nécessaire à tout refuser. Il lui faudrait alors recommencer le combat et batailler pendant de longues minutes. Or au fil des minutes il avait de plus en plus envie d'elle. Et il l'humilierait déjà suffisamment en la prenant ainsi. Il savait que dans le feu de l'action il la ferait jouir et qu'il pourrait le lui rappeler, demain, dans 1 semaine ou plus tard. Cela s'ajouterait à la longue liste de ce qui devait la torturer et il en tirerait déjà une grande satisfaction.

Le mouvement de son doigt devint de plus en plus insistant sur le pubis de la jeune femme, glissant puis remontant le long de la fente. Il sentait que ne tarderait pas le moment où, bien qu'elle s'en défende, l'humidité commencerait à la gagner. L'autre main d'Owen caressait toujours la joue de Candice puis glissa le long du cou avant de s'attarder entre les deux seins, tandis qu'il se collait à elle, sa bouche se posant sur la peau douce et chaude. Il prenait peu à peu possession de ce corps qui l'attirait tant.

Il n'y avait plus de réaction visible de révolte chez la jeune femme. Owen se félicita d'avoir renoncé à la dernière humiliation qu'il voulait lui imposer, celle de vouloir lui faire dire qu'elle aimait ça. Il ne comprenait pas pourquoi Candice réagissait ainsi et refusait d'accepter le plaisir que lui donnaient les hommes, clients et macs, qui venaient la voir et la trouvait si charmante. La vie serait tellement plus facile pour elle. Mais finalement il préférait peut-être qu'elle se comporte ainsi car cela donnait l'occasion au mac de s'amuser et de l'humilier et il devait reconnaitre que cela la rendait encore plus désirable, cela augmentait d'autant le plaisir qu'il prenait avec elle.

Penché sur elle, en train de lui suçoter le cou avec la bouche, il put entendre une petite phrase de la purpose, paroles qui se voulaient méchantes et rebelles mais qui furent prononcées avec une voix tellement basse et timide qu'il fit semblant de ne rien entendre.

Citation :

"Retires tes mains de porc de là !"

Quelques minutes plus tôt elle aurait hurlé sa haine. Là elle cherchait plus à se rassurer qu'autre chose. Il devinait qu'elle devait avoir peur de sa réaction et cela le comblait d'aise. Il se mit à lui malaxer les petits seins qu'il pouvait tenir dans sa main, à les pétrir en appuyant avec de plus en plus de vigueur et de moins en moins de précaution. Son autre main s'activait dans l'entrejambe de la petite poupée, venant chercher le clitoris qu'il pinça à plusieurs reprises.

"tu as raison de te regarder si souvent dans ton miroir et de te trouver belle... tu es très belle Candice ... et tu sais à quel point tu plais aux hommes...j'ai très envie de toi tu sais ..."

Il continuait à la tripoter, insistant lourdement. Les mains d'owen s'amusaient avec les seins de la jeune fille, avec son sexe aussi. Il voulait qu'elle comprenne qu'elle n'était qu'un jouet et finisse par se soumettre. Plus il insisterait plus elle finirait par carquer. Cette idée devait imprégner Candice. Il savait bien que ce qu'il était en train de faire et de dire faisait horreur à la jeune fille. Mais elle céderait comme à chaque fois. Il éclata de rire quand elle lui dit

Citation :

Je leur plais, et alors ? Comme si ça m'apportait quelque chose..."

Un rire sonore volontairement très sonore ... Il la regarda avec un petit sourire et, tout en lui caressant doucement les seins il lui murmura à l'oreille ...

"bien sûr que ça t'apporte quelque chose ... pourquoi te mentir comme ça ... tu aimes plaire ... tu aimes qu'on te trouve belle et désirable ... tu as joli corps ... un joli cul ... de jolis seins ... et quand un homme te trouve belle.. il a envie de toi ... c'est normal.."

Au fil de ses paroles il passait sa main sur chaque partie du corps ... avec beaucoup d'insistance. Il replaça sa main entre les cuisses de Candice, écartant les lèvres intimes. Il la sentait tétanisée. Son doigt cherchait lentement son chemin. Il lui parlait toujours.

"tu peux avoir la belle vie ici ... juste plaire, te faire admirer et coucher ... satisfaire les hommes qui te trouvent si belle ... si désirable... ce n'est pas si difficile et si désagréable d'être ... une pute ... hein ma chérie ..."

Et soudain, tout en continuant à avancer son doigt encore un instant, il lui attrapa les cheveux de son autre main et tira la tête en arrière. Il la regarda en riant, un rire qui ne s'arrêtait plus et résonnait dans la pièce.

"Allez Candice ... fais ce que tu sais si bien faire ... et fais-toi plaisir en mêm temps. Tu sais bien qu'il ne sert à rien de résister ... tu le feras et tu le feras très bien ... comme d'habitude!..."

Il riait encore de ce qu'il disait et faisait à Candice, pensant avoir mis par terre sa résistance quand celle-ci se révolta pour venir planter ses ongles dans les poignets d'Owen. La tigresse avait sorti ses griffes mais c'était plus le chant du désespoir. Il sursauta et vit quelques traces rouges, de belles estafilades sur ses poignets. Il la regarda d'un oeil particulièrement mauvais et impitoyable. Cette fille n'avait donc rien compris ! elle avait besoin d'une bonne leçon. Il la regarda avec insistance en souriant mais c'était sourire un brin vicieux. Et soudain il lui envoya une gifle d'un mouvement rapide, faisant claquer le revers de sa main droite sur la joue droite.

Il observa la marque rouge des doigts sur la joue. Puis tout aussi soudainement il envoya une nouvelle gifle sur la joue gauche cette fois-ci et du plat de la main. Il était vraiment décidé à lui donner une leçon pour lui apprendre qu'on ne s'attaquait pas à un mac et qu'il fallait obéir quand on était ... ce qu'elle était.

"Pour qui tu te prends ... tu sais bien ce que tu es ... pour les clients ... une Purpose ... autrement dit une pute ! Alors une pute ça se rebelle pas ... ça obéit! tu vas te mettre ça dans la tête ! tu mérites une leçon ... et ... c'est dommage tu vas te trouver moins belle après ..."

Il lui agrippa les cheveux d'une main pour la forcer à se mettre à genoux, détachant de sa main libre la ceinture de son pantalon. Candice n'était pas de taille à lui résister, petite et frêle qu'elle était. Il pouvait facilement s'en jouer et la maitriser. Une fois à genoux il la força à faire le dos rond et à courber la tête. owen avait maintenant la ceinture dans la main et il la fit claquer dans l'air avant d'appliquer un coup rapide sur les fesses nues de la jeune fille. Il rit en la contemplant avant d'appliquer de nouveau 2 ou 3 coups bien cinglants toujours sur les fesses.

Candice l'avait poussé à bout avec cette façon de refuser l'inéluctable et de lui tenir tête. Et Owen n'aimait pas cela. Pourtant il avait l'habitude de résister plus longtemps avant d'en venir à la manière forte. Mais là il se demandait vraiment s'il y avait un moyen quelconque de la raisonner, de lui faire comprendre où était son intérêt. Elle n'avait aucune chance de s'évader de l'île. Aucune des filles amenées ici ne s'était jamais échappée. Ce n'était pas faute de le leur rappeler, à elle comme aux autres. Après ... les réactions des unes et des autres pouvaient être différentes. Certaines voyaient leur résistance rapidement brisée et se soumettaient, parfois abattues, parfois plus sereines. D'autres donnaient plus de fil à retordre, vis à vis des macs surtout, moins face aux clients, comme Candice qui étaient appréciée de la clientèle, d'autres avaient un comportement récalcitrant même face aux clients.

Il fallait saper cette résistance et Owen prenait un malin plaisir, voire un plaisir sadique, à mettre au pas ces récalcitrantes. Et depuis un moment il s'occupait de Candice. Ce n'était pas lui son mac, c'était Rylee qui l'avait amenée là. Mais, lui, il prenait un peu de bon temps avec elle et les réactions de Candice l'excitaient finalement. Il voyait pourtant bien à quel point cette fille était frivole, aimait plaire. Ce qu'il ne cessait de lui dire était vrai mais elle ne voulait pas l'entendre de sa bouche. Et plus elle se révoltait plus il s'amusait à l'humilier, par la parole, par les gestes. Elle avait un corps superbe et il aimait prendre son pied avec elle.

Après qu'il l'eut giflée puis donné quelques coups de ceinture, elle continuait à fanfaronner, pouffant de rire, le traitant de "petit connard", de "pauvre merde". Cela la soulageait peut-être mais si elle s'imaginait que cela allait intimider le mac, elle se trompait lourdement. Bien au contraire ce comportement nourrissait sa rage de la briser, sa volonté de l'humilier plus encore. Et quand elle lui cracha après, quleques gouttes parvenant difficilement jusqu'à son torse cela le mit encore plus en colère. Il la regarda avec mépris.

"tu n'as décidément rien compris espèce de salope ! tes insultes et tes réactions sont pathétiques. Il fallait faire attention avant ! ... si tu avais un peu moins pensé à te regarder dans ton miroir et à vouloir paraître la plus jolie ... alors maintenant aies un peu de courage et assume au lieu de te comporter comme ça ... pathétique oui c'est bien ça ton comportement!"

Il lui avait dit cela sur un ton féroce, implacable et froid. Si elle croyait le mettre en colère, elle se trompait là aussi. Il pouvait réagir plus ou moins vivement mais il ne perdrait certainement pas les pédales. Avec sa ceinture il cingla de nouveau à 3 reprises ses fesses et le bas de son dos, zébrant sa peau de marques pas trop appuyées pour ne pas abîmer ce joli corps mais suffisamment pour qu'elle en ressente la brulure. Elle ne serait peut-être pas présentable à la clientèle pendant deux ou trois jours... Il s'en occuperait personnellement.

Cette fille commençait à sérieusement énerver le jeune homme. Owen finissait par se demander si elle ne le faisait pas exprès mais il était difficile de comprendre ce qu'elle cherchait à obtenir. Elle risquait de ne pas être déçue. En effet les gifles qu'il lui avait asénées et les coups de ceinture qui s'abattaient sur elle, pas très violents mais suffisamment cinglants et bien placés, n'étaient rien à côté de ce qu'elle risquait de subir. Il faudrait vraiment qu'il en parle avec Rylee ... Rylee était peut-être trop attachée à Candice ... pas comme lui, insensible au sort de ces filles qu'il considérait vraiment comme de la marchandise. Mais quand Rylee se mettait en colère il pouvait ne pas être tendre. Peut-être aussi que ce client qui réclamait la purpose à chacun de ses passages ... Tyler ... oui c'est cela Tyler ... elle devait l'embobiner et s'imaginer qu'il la ferait sortir de là! Elle se foutait le doigt dans l'oeil et elle allait rapidement le comprendre. Il la regarda d'un air mauvais et ricana.

"Alors tu veux vraiment faire ta forte tête. On t'offre un séjour dans une île paradisiaque. On te nourrit, on te loge, on t'habille ... tu as tout ce que tu veux ... il suffit de le demander ... même si tu voulais des trucs pour te donner un petit coup de bourre ... tu l'aurais ! et tu fais ta chochotte ! tu te moques vraiment de nous. mais si tu crois pouvoir t'échapper ... tu te fais des illusions et si un jour tu pars de cette île ... je préférerais pas être à ta place et aller ... là où tu irais..."

Cela ne faisait pas de mal de l'inquiéter un peu. Il devinait qu'il ne faudrait pas grand chose pour la rendre complètement folle. Elle était un peu du genre parano et s'inquiéterait. Ca allait la travailler et il s'amusait à imaginer cette fille angoissée à l'idée de ne pas avoir de quoi demain serait fait. Là elle fanfaronnait mais Owen était certain que la trouille pouvait plus facilement la ramener à la raison que les coups. cela n'empêchait pas de le lui faire sentir physiquement aussi. Et il fit cingler une nouvelle fois sa ceinture, un coup bien ajusté, juste entre les cuisses. Elle s'en rappellerait.

"tu prends pas ton pied avec moi? c'est dommage pour toi! mais peut-être bien qu'un jour tu me supplieras plutôt que de devoir subir ... je te laisse imaginer .... je vais parler de tout ça à Rylee..."

Il partit dans un grand éclat de rire en terminant sa phrase.