Gagner n'est pas joué [Owen]

Cette fille était décidément totalement entêtée. Non seulement elle ne voulait pas faire ce que je lui demandais mais en plus elle jouait les révoltées et prenait un malin plaisir à m'insulter. Elle allait voir qu'il ne fallait pas jouer à ce jeu-là avec moi et que ma patience avait des limites déjà largement entamées. Je l'avais entendue pousser un cri qu'elle avait essayé d'étouffer mais qui ne m'avait cependant pas échappé. La manière dont je lui avais tordu le bras devait la faire souffrir et je m'en délectais. J'imaginais qu'elle devait avoir quelques larmes qui commençaient à rouler sur ses joues. Je tordis le bras un peu plus fort tout en détachant la ceinture que je portais autour de la taille.

"J'ai l'impression que tu te moques de moi ... et je n'aime pas du tout ça. Les récalcitrantes comme toi ... ya que la manière forte pour les mettre au pas!"

Je la forçais à s'agenouiller à mes pieds tout en maintenant la pression sur son bras. Puis une fois qu'elle fut agenouillée, je relachai soudain son bras. Elle crut peut-être avoir là une occasion de s'échapper mais je ne lui laissai pas le temps de profiter de ce moment. Je lui assénai un coup assez violent sur le dos avec ma ceinture bientôt suivi de deux ou trois autres coups qui zébrèrent son dos. J'en fis de même sur chacune de ses fesses. Elle avait d'abord essayé de se dégager mais ensuite resta figée, comme clouée sur place.

"est-ce que je dois continuer ou deviens-tu plus raisonnable?"

Elle était maintenant à mes pieds et je regardais avec une certaines satisfaction les marques rouges sur son dos et sur ses fesses. Je pensais à cet instant qu'elle allait se souvenir pendant quelque temps de cett épisode pour le moins ... cinglant. Ses clients dans les jours à venir se poseraient peut-être quelques questions sur l'origine de ces marques qui ne disparaitraient pas du jour au lendemain. Elle restait immobile, par terre, n'osant plus bouger. Même lorsque je m'arrêtai de lui asséner les coups de ceinture elle ne chercha pas à s'enfuir. Je ne me faisais guère d'illusion et imaginait bien que dans tête c'était toujours un sentiment de révolte qui devait prédominer. Mais la résignation prenait maintenant le dessus.

Je décidais de la forcer cette fois-ci à faire ce que j'attendais d'elle. Mais quelques précautions étaient préférables. Je lui attachais donc les poignets avec la ceinture après l'avoir allongée sur le dos. Et je fixais la ceinture à un anneau qui pendait du mur. Ayant vérifié qu'elle était ainsi solidement attachée, je me plaçais à califourchon sur elle et approchait de nouveau mon sexe de sa bouche avec un sourire particulièrement pervers.

"Gillian ... tu vas maintenant faire ce que je t'ai demandé il y a quelques minutes. Et tu n'as pas intérêt à me refaire le même coup... compris? tu es attachée, tu n'as aucune chance de t'échapper et si tu essayes la moindre entourloupe je te prie de croire que la douleur que tu as ressenti avec la ceinture n'était rien du tout. As-tu envie que ce joli corps et cette jolie frimousse soient méconnaissables ? ... tu ne serais pas près de te regarder dans le miroir ... crois-moi... Alors executes-toi !"

Je lui avais pris le visage dans la main et lui avait parlé en pressant fortement ....

Après avoir fermement tenu et pressé le menton dans mes mains, je l' avais relachée et constaté immédiatement qu'elle était devenue plus obéissante. Quelques larmes perlaient de ses yeux, dégoulinant le long de ses joues. Pourtant Gillian avait commencé par donner quelques coups de langue qui m'excitèrent. C'était une excellente ... mise en bouche! Et effectivement la jeune femme venait d'ouvrir sa bouche pour que mon sexe déjà bien dur puisse s'y engouffrer. Je pouvais tranquillement faire des va et vient dans sa bouche, accompagné par les mouvements de sa tête. Sa langue jouait avec ma verge et la sensation était bien agréable.

Je lui flattais le dessus de la tête et la nuque pour l'encourager à poursuivre dans cette voie. Quand elle le voulait Gillian savait parfaitement s'y prendre et se révélait très douée pour ce genre d'exercice. J'imaginais bien qu'elle ressentait un certain dégoût d'être obligée de s'exécuter ainsi. Son attitude de révolte demeurait cependant pour moi incompréhensible car la jeune femme savait pertinemment que c'était un combat perdu d'avance. Elle n'était pas arrivée de la veille sur l'île et connaissait donc le sort qui l'attendait. Plus elle s'entêtait plus elle devrait subir. Mais, après tout, cela n'était pas pour me déplaire car je prenais un plaisir certain à briser cette résistance.

Avec l'art qu'elle manifestait dans cet exercice, je ne tardais pas à sentir monter en moi des ondes de plaisir. Je cherchais par tous les moyens à maitriser ces sensations, ne voulant pas jouir trop tôt. Mais cela devenait de plus en plus difficile. Je me cambrais un peu plus, mon coprs et mes muscles fortement contractés. Je lui caressais la joue avec insistance.

L'attente avait été longue et j'avais dû patiemment, ou impatiemment, ronger mon frein, avant que Gillian s'exécute. Le désir longtemps référné et maintenant l'expertise avec laquelle la purpose me suçait avaient fait rapidement monter en moi le plaisir. Mon sexe était dur et gonflé. Il emplissait maintenant sa bouche, atteignant le fond de sa gorge. Je lui caressais le visage tout en gémissant de façon d'abord sourde puis de plus en plus sonore. Ma main sur son visage ressentait chez elle des tressaillements qui marquaient à quel point Gillian était prise de sensations tellement contradictoires. J'imaginais bien, au vu de ses réactions du départ, que le dégoût devait se mêler à la résignation mais aussi, malgré elle, à une certaine application à bien faire ce à quoi elle était destinée.

Alors que je sentais poindre le moment où je jouirais, elle recula encore un peu plus la tête, dégageant sa bouche. Mon sexe n'était plus en elle et je ressentis un manque qui coupa la montée du plaisir en moi. Je l'entendais tousser comme si elle cherchait à chasser l'impureté qu'elle sentait peser sur elle. Je lui pris de nouveau le menton dans ma main.

"Ce n'est pas bien Gillian .... tu n'as pas été au bout des choses ... on va passer à autre chose alors ... et tu ne pourras pas te dérober..."

Ma main pressant fortement la machoire de la jeune femme, je l'obligeai à s'allonger par terre et vint me placer au-dessus d'elle. Mon sexe frotta longuement la fente de la purpose et je constatai que, malgré elle sans doute, elle commençait à lubrifier. Un sourire s'esquissa sur mon visage. La plaquant toujours au sol, par l'effet conjugué de ma main et du poids de mon corps je donnai un coup de rein un peu appuyé et la pénétrai sans coup férir. Gillian pousa un petit cri à cet instant. Je commençai alors à aller et venir par des mouvements relativement lents mais assez puissants de mon bassin.